Bonjour,

Je me suis inscrit sur ce site pour vous partager moi aussi mon addiction aux paris sportifs. Étant un grand amateur de sports (tennis, Rugby, football). Je suis étudiant en pharmacie en 5ème année, j’en viens même à voler des fois de l’argent dans la caisse de la pharmacie, de mettre ma carrière en danger à cause de ces jeux qui nous rendent fous. Je pense que le fait de m’exprimer peut me faire du bien et m’aider. Je suis interdit de jeux en France depuis quelques mois mais je continue tjrs à jouer en bureau de tabac quand un match me titille. J’ai perdu des milliers d’euros, j’ai 23 ans, je joue aux paris sportifs depuis l’âge de 17 ans et j’ai dû perdre des dizaines de milliers d’euros que j’aurais pu mettre de côté comme tout le monde. Mais on ne peut pas revenir en arrière et je suis là aussi pour vous soutenir tous ensemble parce que dorénavant il faut penser à aujourd’hui et à demain et à se qu’on gagne au début de chaque mois. L’argent est tellement dure à gagner et si facile à perdre… j’ai honte de moi même, mais je me rend compte que de plus en plus de joueurs sont présent de nos jours et tout ça pour engraisser des « connards » qui brisent nos vies. J’ai perdu ma copine a cause des jeux, je lui mentais, j’ai fais du mal à mes parents quand ils l’ont su. La fdj est le système le plus pourri de la terre et brasse des millions chaque jours… mais encore ce soir j’ai joué et j’ai perdu… oui je suis addict, je vais voir une addictologue pour m’en sortir parce que je me dis que si je met tout cette argent de côté au lieu de le jouer je serai bien plus heureux plus tard. Mais tout ça est fait exprès… l’argent a été inventé pour rendre les gens fous et pour engraisser l’état et compagnie.
Je comprend que ce soit très dur d’arrêter de jouer c’est pire que d’arrêter la cigarette, c’est une vraie drogue et j’espère qu’on s’en sortira tous. Prenez sur vous, gardez votre argent comme si c’était votre homme votre femme, votre enfant votre parent. Je sais qu’on peut y arriver ensemble et c’est le meilleur moyen d’y arriver que de se soutenir ensemble